top of page

Léopard, Jaguar et Guépard

 

 

 

Est-ce que ce sont des dessins anodins ? Le pelage du léopard imite les yeux mais aussi des traces de pas ...

 

Qu'est-ce que ça veut dire ? Je te suis. Est-ce que ça exprime la distance ? Une menace permanente mais distante. Plus qu'un paradoxe, une ruse : je découvre sous mes yeux les empreintes de pas et sur son pelage ! Et sur le sol et dans son pelage. Il est sous mes yeux ? Il m'a déjà attrapé ?

 

Nos yeux sur le pelage ?

 

Ce sont de faux yeux, ils imitent mal les vrais ! Les vrais yeux sont impressionnants, ils marquent la réalité, la puissance, la vérité. Les vrais yeux fonctionnent, mais comment ? Ils font peur, ils fascinent et nous rappellent la méconnaissance, l'inconnu de leur fonctionnement, de leur couleur, de leur transparence et de ce qu'ils peuvent percevoir ou de ce qu'ils ne verront pas (psychopathe). Ils impressionnent parmi tous les autres faux yeux représentés sur son pelage, ceux la sont vrais, on est plus dans l'imitation, ils ressortent, ils sont remarqués parmi les nombreuses imitations, ils dénotent par leur différence et nous ramènent à la réalité : le léopard est un prédateur, un tueur !

 

Tous les regards sont posés sur le pelage du guépard, tout le monde l'a vu et personne ne fuit. Le message serait : "J'ai de multiples yeux : j'ai vu tout le monde ! J'ai vu les autres, tu n'es pas la seule proie". Ces signaux provoquent, interrogent ou laissent indifférents. Le léopard regarderait autre part. Ces effets ralentissent peut-être ses proies.

 

Est-ce que ce sont des dessins anodins ?

 

Nous regardons toutes les tâches. Toutes les taches sont autant d'yeux qui nous regardent. Chaque partie du corps nous regarde et nous les regardons.

 

Le contraste des couleurs, jaune clair lumineuse, couleur éblouissante du soleil contraste avec un noir pupille profond. Toutes les parties couleurs de son corps sont agressives aussi bien le jaune clair ou vif, brûlant et assommant du soleil qui éclaire et qui illumine tout, ainsi que le noir profond opaque sévère et impardonnable de la nuit.

 

Autant le jour que la nuit nos yeux travaillent. Le jour nous voyons tout par un soleil implacable et la nuit nos yeux, nos pupilles se dilatent au maximum, notre attention est éveillée au maximum pour se protéger d'une possible agression.

 

Le noir du pelage est donc inutile le jour parce que nous voyons sous ce soleil qui éclaire tout et le jaune est lui aussi inutile, trop vif sous ce soleil qui éclaire tout.

 

Deux couleurs les plus dangereuses et les plus puissantes de la savane : le jaune du soleil et le noir de la nuit.

 

Double utilité antagoniste : son pelage jaune est criblé de taches noires réparties sur tout le corps. Par ce contraste tout le corps est mis en exergue, toutes les parties du corps sont prononcées mais le léopard garde sa couleur savane et disparaît partiellement sous des taches noires, la panthère est entièrement noire. Même sa truffe et ses lèvres sont noires, ainsi que le contour de ses yeux différents des tâches pour préciser les effets du vrai regard cette fois !

 

Au centre de cercles noirs la même couleur que son pelage, il encercle son pelage, entour la couleur de son pelage mais un peu plus foncé pour qu'il soit moins vif et l'obscurcit sans qu'il soit totalement noirci par des taches noires trop grosses. Les taches sont rondes mais irrégulières ... Les cercles s'ouvrent, les couleurs s'inversent, progressivement le noir entoure le jaune, le jaune entoure un point noir. Des points noirs s'ouvrent ou se ferment sur la même couleur que le pelage mais plus le cercle se referme plus il se referme sur un pelage

foncé, plus sombre.

 

Les taches de couleurs se décalent, s'(h)altèrnent. Les points noirs se dilatent comme les pupilles des yeux, les mêmes réactions visuelles de nos yeux sur chacune de ses taches, toutes différentes pour nous amener vers les mêmes effets mais des vrais yeux du léopard, cette fois.

 

Pupilles dilatées ou pas, yeux ouverts ou fermés ! Dès qu'on ne voit plus ses yeux on voit ses cercles noirs, dès qu'on voit ses yeux on voit des points noirs, plus on se rapproche du visage plus ils sont petits et ont le diamètre des pupilles. Plus les taches s'éloignent des yeux plus elles ressemblent à de faux yeux grands ouverts sans pupilles.

 

Toutes les taches sont presque des yeux complets. Est-ce que les taches noires expriment les mouvements des pupilles, de dilatation et de rétrécissement, de grands yeux ou de petits yeux.

 

Le pelage et les taches changent vers l’arrière de l’animal : focus visuels, écarquillement des yeux vers une immobilisation dû au regard introspectif, un regard vide sans pupille, qui par le cercle et les jeux de couleurs force notre à loucher, à attirer notre regard, à s'élargir à l’intérieur du cercle avec une couleur fauve plus foncée et diffuse par le poil !

 

Et au contraire se concentrer progressivement vers l'avant de l’animal et croiser du regard les vrais yeux : iris d'un vrai fauve à la pupille noire.

 

Nous sommes fascinés, intrigués, jusqu'à ce que l'on croise ses yeux qui nous ramènent à la réalité et provoquent plusieurs effets. Ce ne sont plus nos yeux qui réagissaient à ce travail d'illusions d'optique.

 

Dès que l'on voit ses yeux, ce ne sont plus les nôtres, ce qui nous différencie, nous ramène à notre place et nous distancie. Nous le jugeons, nous sommes alors obligés de l'individualiser, pendant qu'on perd du temps à regarder ses yeux, lui il regarde ailleurs. Subjugués, nous n'avons pas le temps de suivre son regard ni de chercher vers quoi il est tourné. La couleur fauve de ses yeux nous rappelle les effets dus à l'écarquillement et la pupille ; les effets optiques de la concentration : les effets sont maintenant rassemblés dans les vrais yeux, on comprend que l’on a affaire à un léopard indépendant et donc un chasseur sauvage.

 

L’œil du léopard rassemble dans un seul et même dessin les taches différentes de son pelage. Ces deux effets distincts sont maintenant compris dans son œil et discernés par nous dans son œil.

 

Grâce aux effets d’optique en regardant une pupille noire et les couleurs diffusent de l'iris, le léopard nous apprend comment regarder des yeux et que nous avons des effets d’optique, de transformation d’énergie dans nos yeux et combien nos yeux sont perçants !

 

Ce qui pourrait nous amener à comprendre les déplacements, peut-être inconscients, des animaux migrateurs grâce à ces effets d'énergies visuelles ...

Un "effet d'éponge"

 

Les motifs du pelage du léopard ressemblent dans la nature au corail ou à une éponge.

 

Le noir ressemble à des trous, mais le noir absorbe aussi les couleurs, la chaleur, les énergies. Il y a un effet d'absorption contrebalancé par le jaune lumineux qui exprime le soleil, ou encore les hautes herbes sèches de la savane. Ces effets contrastés évoquent le corail et l'éponge. On pourrait donc croire que le pelage du léopard ressemble à une éponge. Notre système psycho-visuel serait "absorbé et/ou épongé, brossé, touché" par ces effets d'optique !

 

 

Un effet d'allègement, de légèreté

 

Une éponge est creuse, les points noirs vident le pelage, créent un effet de légèreté, évide le corps du léopard.

 

 

Le pelage s'illumine avec la couleur jaune

Les effets de la grille d'Herman en mouvement

grille d herman scintillement.png
grille d herman carrés blancs.png
grille d herman.png

Méfiez-vous, le prédateur grillé s'évapore dans la savane et de votre regard !

Le j'a gu où art

Le l'ai hop p art

52f3c9cbaac38b3c294c9206d0dde3ac.jpg
index.jpg

Qu'il soit immobile ou en mouvement l'animal s'évapore dans la chaleur de la savane et de votre œil !

Text on this website may not be redistributed or put as part of any collection (image archives, CDs, etc. )  without prior written permission.

Copyright may 2014 - 2017.  All Rights Reserved.

bottom of page